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Collectif des Ecologistes Libres et Autonomes

4 février 2012

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4 février 2012

Charte des valeurs communes de l'Association C.E.L.A

Charte des valeurs communes de l'Association C.E.L.A


Soucieuse de pouvoir réunir le maximum de personnes à la démarche d'ouverture sur les questions écologiques, sociales, économiques, culturelles, environnementales, sportives et sur tout ce qui touche la vie quotidienne des citoyens, le Collectif des Écologistes Libres et Autonomes- C.E.L.A - entend le faire par l'adhésion individuelle aux valeurs et aux pratiques déclinées ci-après.

L’ensemble des adhérents de C.E.L.A déclare que leur adhésion s’inspire du Manifeste d'Europe Écologie et de la Charte des valeurs :

• La responsabilité de l’ensemble de la communauté humaine dans la sauvegarde de son environnement et des écosystèmes pour les générations futures et les principes de précaution et d’intervention préventive face aux catastrophes prévisibles.

• La défense de la biodiversité et du vivant, instaurant un rapport respectueux et non violent entre l’être humain et la nature.

• Le droit de chacun à vivre dans un environnement sain et préservé.

• La lutte contre le changement climatique impliquant le redéploiement des ressources énergétiques et une politique massive d’économie d’énergie.

• Le droit au temps libre et à l’épanouissement individuel et partagé.

• Le rejet de l’idéologie productiviste et du dogme de la croissance illimitée, qui ne tiennent pas compte du caractère limité des ressources de notre planète.

• La reconnaissance de l’existence de biens communs inaliénables par les intérêts particuliers.

• La lutte en faveur de la justice sociale, la réduction des inégalités sociales et le combat contre toute forme d’exploitation des êtres humains.

• La solidarité et le partage équitable des richesses et des ressources entre les peuples, entre les générations, entre les territoires et plus généralement au sein de la société.

• La remise en cause des effets dévastateurs du libéralisme économique et des logiques de prédation, de compétition et de gaspillage et la promotion de modes de vie sobres.

• La nécessité de développer les instruments d’une économie alternative fondée sur la transformation écologique des modes de production et de consommation, appuyée sur l’économie sociale et solidaire, sur la conversion écologique de l'économie, sur le renforcement du secteur non-marchand et une régulation stricte des marchés financiers.

• La liberté de pensée, d’expression, de réunion et de circulation.

• Le droit à l’émancipation et à l’autonomie des individus, à l’éducation, à la formation, à la culture, à la santé tout au long de la vie.

• Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et à se gouverner démocratiquement.

• La liberté de conscience et de culte dans le respect du principe de laïcité et du droit inaliénable des personnes à leur autodétermination.

• La protection contre l’arbitraire étatique et notamment le droit à un procès équitable et le droit au respect de la vie privée.

• Le droit à la dissidence et de résistance à l’oppression, la lutte contre toutes les formes d’autoritarisme et de totalitarisme.

• La reconnaissance de la diversité comme élément de richesse de nos sociétés.

• La défense du pluralisme et le plein respect des minorités et de leurs droits.

Le respect et l'application du pluralisme à tous les niveaux.

• La promotion de la diversité linguistiques et la défense des cultures régionales.

• L’affirmation de la dignité humaine et de la reconnaissance de cette dignité comme préalable de toute justice.

• Le droit à l’amendement, à la réhabilitation et à la réinsertion pour tout individu.

• L’affirmation du féminisme comme valeur émancipatrice pour les femmes comme pour les hommes.

• La lutte contre le racisme et toutes les formes de discrimination , qu’elles soient liées au sexe, à l’orientation sexuelle, aux identités de genre, à l’origine sociale ou ethnique, à la couleur, la langue, l’âge, au handicap, à la maladie, ou toute autre situation.

• La lutte contre la corruption et pour la transparence des décisions tant dans la sphère économique et financière que dans la sphère politique.

• Le devoir d’accueil et la solidarité active aux réfugiés politiques, économiques et écologiques.

• La culture de paix, de tolérance et de non violence , l’engagement en faveur du désarmement.

• Le refus du nucléaire militaire et l’engagement en faveur de la sortie du nucléaire civil.

• L’établissement de nouvelles relations nord-sud fondées sur la solidarité et la coopération internationale.

• La défense de la démocratie face aux dérives des solutions autoritaires même au nom d’une « sauvegarde urgente de la planète ».

• Le soutien aux initiatives en faveur d’une gouvernance mondiale, démocratique et équitable.

• L’engagement dans la construction d’une Europe fédérale, sociale, écologique et démocratique.

  • Toutes ces orientations doivent trouver leur déclinaison au niveau local et dans les actions et propositions de C.E.L.A. 

Code de bonne conduite.

Le texte appelé « Code de bonne conduite » est constituant des principes ci-dessus évoqués dans la Charte et dans les Statuts de C.E.L.A.

Il convient de mettre cela en valeur et d'être attentifs à nos comportements :

— Égalité de ses membres sur la base d’une personne, une voix sans distinction aucune, sexuelle, sociale, ethnique.....

— Respect du principe d’exemplarité dans le fonctionnement.

—L'écoute, le débat, le respect de chacun doivent être les moteurs de nos pratiques politiques et humaines.

  • Le lien avec les Partis politiques doit être présent, il doit néanmoins laisser l'autonomie de pensée et d'actions. Les engagements personnels ne sauraient se substituer au collectif.

  • Les réunions d'appartement doivent trouver leur place et s'inscrire dans une mobilité humaine, mais aussi géographique si des mouvements, associations, partis, individus nous sollicitent.

  • Les publications souhaitées par les membres de C.E.L.A ne sauraient avoir un effet contreproductif noyant les adhérents sous une pluie de messages. Le groupe d'animation fera si nécessaire la régulation.

Extraits du Manifeste d'Europe Écologie partagé par C.E.L.A :

Une multitude d’initiatives entame le modèle dominant et ouvre des voies nouvelles. C’est l’autre visage de la mondialisation et il concerne tous les peuples, toutes les cultures. De nombreux acteurs et actrices de la société et des communautés locales se mobilisent. Ils interviennent dans toutes les couches de la société.

Ce sont souvent ceux et celles que la crise fragilise en premier. Ils résistent, s’organisent, innovent. Chacun et chacune à leur façon, dans leur discipline, leur quartier ou leur village, ils esquissent les contours d’une alternative porteuse d’avenir. Des hommes et des femmes luttent et s’engagent, et c’est notre espoir, notre point d’appui pour inverser le cours des choses

Déjà, dans les prémices du chaos énergétique, climatique, alimentaire, migratoire et sanitaire, dans la mise à sac des biens communs et publics que les dérives financières et marchandes provoquent, un nouveau monde émerge avec ses victimes en proie au manque de tout . Le capitalisme n’est plus capable d’opposer cette dynamique qui promettait aux peuples l’abondance universelle. Au contraire, il renforce chaque jour une logique construite sur l’endettement, la précarité de l’emploi et l’augmentation de l’empreinte écologique

Les deux grands courants idéologiques engendrés par la révolution industrielle, accompagnant l’un l’essor du capitalisme et l’autre l’espérance socialiste, sont désormais à bout de souffle. Malgré leurs différences, fondées sur un enracinement social historiquement opposé et des valeurs souvent contradictoires, ils se montrent pareillement désorientés sur l’essentiel, saisis d’impuissance face à l’effondrement du credo productiviste qu’ils partagent.

Nous vivons l’époque d’une césure fondatrice. La métamorphose est possible. Elle ne viendra pas d’en haut de manière autoritaire – ou alors ce sera probablement que le pire n’aura pas été prévenu – mais, au contraire, du foisonnement des initiatives citoyennes, pour autant qu’elles se renforcent en faisant réseau et qu’elles s’articulent avec des politiques menées sur tous les terrains, y compris institutionnels

Cette mutation n’est inscrite dans aucun catéchisme doctrinaire, ni manuel de guérilla. Elle hérite du poids d’un monde qui n’est pas mort, hérissé de résistances agressives qu’il faut bien affronter, tout en devant s’engager sans attendre vers l’inconnu d’un monde à peine naissant.

Elle est confrontée tout à la fois au défi de rompre et de construire :

- Il lui faut se dégager au plus vite du système dominant – le capitalisme, ses mécanismes orientés sur la valorisation du profit et son imaginaire productiviste, sans pour autant se priver des entrepreneurs – pour bâtir une société où le marché et le partage des biens communs seraient régulés par les critères écologiques et sociaux.

Avec l’appui des secteurs et des mouvements sociaux concernés, les écologistes doivent donc engager des transitions où le primat de la durabilité des écosystèmes, des dispositifs économiques, des systèmes financiers, des contrats sociaux et des territoires s’affirme contre les diktats irrationnels du productivisme et les rapports de production qu’impose le capitalisme

La société écologique mise, enfin, sur l’éducation et la formation tout au long de la vie. En opposition au taylorisme qui isole chacune et chacun dans une tâche reproductible et déresponsabilisante et au post-taylorisme qui, au prétexte d’autonomie et d’individualisation, renforce l’aliénation et la concurrence entre les personnes, elle affirme et privilégie la promotion de collectifs qui assument ensemble et de manière solidaire des projets partagés

Les chantiers du projet écologiste sont immenses : établir les conditions d’un bien être équitable et respectueux de l’environnement autour du principe de transformation écologique de l’économie et de la société. Cela implique de revisiter de fond en comble les conceptions de la richesse, du travail, de la fiscalité, de la production industrielle et agricole, du commerce, des services, de la consommation, de la mobilité, des transports, de l’alimentation, de l’habitat, de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire…

Il appartient à l’écologie politique de rester en permanence à l’écoute et d’ouvrir l’élaboration de son projet à tous les acteurs et actrices sociaux, partis, élus, syndicats de salariés et professionnels, entrepreneurs, enseignants, formateurs, militants associatifs, chercheurs, intellectuels.

Elle doit continuer à se faire l’écho de pratiques écologiques qui sont déjà et qui vont devenir de plus en plus l’affaire de tous. S’il veut réussir, le projet écologiste doit donc inter agir avec l’ensemble du corps social, en épousant ses différenciations et sa diversité, en s’appuyant sur les forces sociales qui sont aujourd’hui les victimes du système : ouvriers, employés, techniciens en proie à la précarisation, travailleurs des services publics démantelés, fonctionnaires transformés en boucs émissaires, paysans otages de l’agrochimie et de la grande distribution, artisans déclassés, ingénieurs et chercheurs bridés, entrepreneurs pris au piège de la rentabilité financière.

Autonomie n’est pas isolement. Les écologistes ne sont pas seuls au monde. Il nous faut donc construire des majorités d’idées en cherchant en permanence des partenariats avec d’autres forces politiques et plus largement avec les organisations et les mouvements sociaux concernés, à travers des pactes ponctuels, sectoriels ou régionaux, démarche pouvant se prolonger jusqu’à conclure des accords de gouvernement ou de mandature.

4 février 2012

Statuts de l’association C.E.L.A. Collectif des Ecologistes Libres et Autonomes


Statuts de l’association C.E.L.A.

Collectif des Ecologistes Libres et Autonomes

 

Préambule:

Le 26 septembre 2011 à Saint-Nazaire 44600 a été créée l'association C.E.L.A..

Article 1 : Objet et dénomination

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association à but non lucratif régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre :

«  Collectif des Ecologistes Libres et autonomes » ( C.E.L.A.) Cette association, n'est pas un parti politique.

Article 2 : Buts, moyens, objectifs.

Cette association a pour but :

De favoriser les débats, rencontres et échanges entre des citoyens partageant les objectifs d'une « Chartedes valeurs communes » et d'un « Code de bonne conduite » (annexés aux présents statuts).

Dans un esprit de convivialité et de solidarité, de favoriser et organiser, l'émergence d'un autre type d'organisation sociale et écologique à tous les niveaux de nos territoires.

De promouvoir par la participation citoyenne, à l'avènement de forces politiques novatrices en matière d'écologie, de solidarités et de respect des différences.

L'association n'est pas limitée dans son périmètre géographique à la seule ville de Saint—Nazaire, elle peut étendre ses interventions vers toute la circonscription préfectorale et ses 15 Cantons.

L'association C.E.L.A peut être considérée à la fois comme un « Club de réflexion politique » comme une « école de formation à la citoyenneté », comme un « groupe ressources » pour les partis politiques souhaitant mettre en œuvre ces travaux et réflexions.

Article 3 : Siège social de C.E.L.A.

Le siège social est fixé : C.E.L.A. 7 chemin d'Avalix 44600 Saint-Nazaire. Il pourra être transféré par simple décision des animateurs et ratification par l’assemblée générale des adhérents.

Article 4 : Admission à C.E.L.A..

 Pour faire partie de l’association, il faut en faire la demande verbale ou écrite auprès des animateurs, la même démarche est utile pour en sortir. L'admission est validée sur la base de l'article 5 des statuts.

Article 5 : Conditions d'adhésion à C.E.L.A. .

Sont adhérents les personnes physiques qui s'engagent à signer la Charte des valeurs communes, ainsi que le Code de bonne conduite de l'association. Aucune cotisation n'est sollicitée. Néanmoins, les animateurs pourront faire appel aux dons pour couvrir des besoins exprimés collectivement.

Tous les adhérents sont membres de plein droit de l'association. Les adhérents s’engagent à respecter la « Charte des valeurs »  et le « Code de bonne conduite » indispensables à la progression des valeurs que l'association souhaite voir émerger dans toute la société.

 

L'appartenance à une autre association ou parti politique, n'est pas incompatible avec l'adhésion à C.E.L.A. Néanmoins, les personnes adhérentes ou soutenant d'autres orientations politiques que celles intégrées à la Charte des valeurs communes et à son code de bonne conduite ne sauraient trouver place à C.E.L.A. IL en est de même pour les personnes soutenant le projet de construction d'un nouvel aéroport à Notre Dame des Landes.

Article 6. Perte de la qualité d'adhérent à C.E. L.A.

La qualité d’adhérent se perd par :

 

Article 7 : Ressources de l'association.

Les ressources de l’association sont constituées par :

 

 - Les apports manuels

- Les recettes de manifestations citoyennes et écologiques.

 - De toutes ressources autorisées par la loi

Les ressources de l’association veilleront à rester en accord avec la charte des principes du projet. Elles seront communiquées aux adhérents.

Article 8 : Communication et information.

Une liste de diffusion informatique est créée et ouverte à tous les membres. La confidentialité des adresses, y compris électroniques est assurée. Des rencontres physiques sont organisées avec un minimum de 6 par an. Tous les moyens, y compris électroniques seront explorés et optimisés pour faire connaître l'association C.E.L.A.

Article 9 : Assemblée générale ordinaire

L’assemblée générale ordinaire concerne tous les adhérents de l’association. Elle se tient chaque année au cours du second semestre de l’année civile.

Les invitations sont transmises quinze jours avant la date fixée. Les adhérents de l’association sont invités par courrier électronique ou à défaut par courrier postal.

Si des votes sont prévus, des pouvoirs dûment remplis sont possibles à raison d'un par personne. Néanmoins, les consultations à distance, courrier postal et électroniques font partie des moyens d'expression de l'association C.E.L.A. Les comptes rendus et relevés de décisions sont transmis dans un délai de 8 jours aux adhérents et sympatisants.

Article 10 : Assemblée générale extraordinaire

Si la nécessité s’en fait sentir, ou à la demande de la moitié des membres inscrits, une Assemblée Générale Extraordinaire peut être organisée. Les critères cités dans l'article 9 sont appliqués.

Article 11 : Dissolution de l'association.

En cas de dissolution prononcée par les deux tiers au moins des adhérents présents à l’Assemblée Générale, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés par celle-ci et l’actif, s’il y a lieu, est versé à une association ou une institution défendant des valeurs proches.

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